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" ... A ce moment-là, en 2007, oui, j’étais un aventurier complet [rires]. Je n’avais à mon actif que quelques entrainements pour les manœuvres en solitaire ! Alors, à la 1ère étape et à la 2ème étape de cette Solitaire du Figaro, avec un vent mou, je me suis classé… dernier. Mais sur la dernière étape, surprise : j’ai fini 30ème sur 50 ! Donc, pas si mauvais marin… ... "
" ... J’en étais à mon deuxième roman et voulais surfer sur cette vague médiatique pour trouver un éditeur. C’est alors que je rencontre Michel Lafon en novembre 2015, complètement par hasard. Une semaine après notre rencontre, je signe un contrat et publie mon roman William Clark Mission 1, sorti en septembre 2016. ... "
" ... J’étais malheureux parce que je cherchais le bonheur aux mauvais endroits. Je pensais qu’en gagnant de l’argent je pourrais acheter des choses, voyager, faire toutes ces choses que le monde moderne nous apprend comme étant les choses qui nous rendent heureux. Le vérité est que le bonheur ne se trouve jamais dans un autre gadget, une autre voiture, une autre maison. Le bonheur n’est jamais dans les choses. Le bonheur ne se trouve jamais en dehors de vous-même, c’est quelque chose qui est en vous. Vous êtes née heureuse. L’humain débute dans la vie en étant heureux. Un bébé à simplement besoin de manger, de se sentir au chaud et en sécurité. Et puis nous grandissons, et quelque part sur le chemin nous nous persuadons que nous avons besoin de choses pour être heureux. Mais c’est faux. Ce dont nous avons vraiment besoin en réalité est de n’avoir aucune raison d’être malheureux. Pour revenir sur l’exemple du bébé, si sa couche est mouillée, il pleure ; si on lui change la couche, il s’arrête de pleurer car la raison de son mal être s’est envolée. ... "
" ... J’étais tremblant, mais les choses se sont bien passées parce que j’étais entouré d’une équipe de collaborateurs exceptionnels avec qui j’ai travaillé avec passion. La presse m’est tombée dessus, assurant que les grands barons de Bouygues allaient me dévorer. Mais ce n’est pas du tout ce qu’il s’est passé. Le groupe s’est développé dans de très bonnes conditions. En 1989, le chiffre d’affaires s’élevait à 7 milliards d’euros et le bénéfice net était de 87 millions d’euros. En 2019, le chiffre d’affaires s’est établi à 38 milliards d’euros et le résultat net à 1,1 milliard d’euros. ... "
" ... À 22 ans, j’étais devenu un bon vendeur. Ce que j’avais retenu, c’était qu’il fallait toujours être à l’écoute, pour savoir quoi dire pour capter l’attention de la personne qui s’intéresse à vous. Chez Electrolux, j’ai rencontré ma fiancée, puis je suis parti de l’entreprise de la même manière que j’ai quitté le commerce en Normandie quelques années plus tôt. Est alors venue une autre étape de ma vie de vendeur. J’allais tous les mardis à la vente aux enchères de voiture, où j’achetais une voiture ou deux, pour les nettoyer et les revendre à profit. Le processus fonctionnait, jusqu’à cette petite 4L fourgonnette que je n’ai jamais réussi à vendre. C’est alors que je me suis souvenu que mon beau-frère entreposait une pile de pulls qu’il pensait vendre à un marchand manouche pour trois sous. J’ai pris ma fourgonnette et je l’ai chargée de pulls. J’ai acheté deux lits de camp et un parapluie et sans me déclarer immédiatement, je me suis établi au pied de l’immeuble où j’habitais à Franconville. J’ai vendu pour 800 francs. Le lendemain, je me suis installé au marché de Nanterre et j’ai vendu pour 3300 francs. J’ai vite compris qu’il y avait encore mieux que les marchés : les braderies, très populaires en France. Il fallait être dans le stand la journée, et la nuit rouler parfois 500 kilomètres pour se rendre sur d’autres braderies. J’ai acheté un beau camion Mercedes avec lequel on traînait la caravane. J’étais réellement devenu manouche. Nous vivions avec notre nouveau-né dans la caravane, sur les routes des braderies de France. Cela a duré trois ans, on était heureux, jusqu’à ce que l’âge de la scolarité de mon fils arrive. ... "
" ... “J’étais inspiré par cette entreprise française internationale et prospère,” dit-il. “Je ne savais pas grand chose de la beauté; j’ai aimé la passion et la créativité de L’Oréal, dès le premier jour. C’est une fascinante combinaison d’aspects rationnels et non-rationnels, de marketing et de sensibilité.” ... "