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" ... Apprendre a bien écrire et bien parler, et à partager des histoires fascinantes, est une « compétence inépuisable » que tous les entrepreneurs et chefs d’entreprise devraient s’efforcer de développer. ... "
" ... Commençons donc par l’histoire de cette entreprise avec qui nous étions alors en train d’écrire une constitution. Un travail qui implique de s’intéresser à de nombreux sujets. A commencer par la définition et la cartographie de l’ensemble des rôles structurels qui composent les fonctions managériales. Le rôle ici est vu comme cet « atome » permettant de définir le job, les autorités et les limites d’autorités des uns et des autres : raison d’être ou potentiel créateur de valeurs, redevabilités (propositions de valeurs et offres de services) et domaines le cas échéant. Un domaine qui doit néanmoins être utilisé avec parcimonie puisqu’il incarne cette « chasse gardée », cet exclusif, ce contrôle « sur » que l’on doit tenter de limiter au strict nécessaire. Bien sûr, certaines choses ne peuvent y échapper : la définition d’une grille tarifaire partagée ou encore la mise en place de processus de recrutement. C’est la raison pour laquelle en holacratie, il y a très peu de « pouvoir sur », cette source de rigidité et d’inefficience. ... "
" ... Faire ce qu’ils disent est donc une bonne idée. Au lieu d’écrire simplement “20”, assurez-vous d’écrire l’année en entier : “2020”, sur tous les documents importants et les chèques. ... "
" ... Qui va écrire les conversations du chatbot ? Qui va décider du chemin conversationnel avec l’employé ou le candidat ? Que se passe-t-il si la conversation échoue ? Comment marketer le chatbot ? ... "
" ... « Je pense que la plus grande différence entre quelqu’un qui écrit, qui veut écrire et qui ne veut pas (il y a un million de différences), c’est probablement la capacité à éteindre cette voix dans notre tête, ou du moins à l’ignorer. Nous la connaissons tous. Je sais que Stephen King l’entend toujours, quand on écrit, qu’on lit quelque chose et qu’on a le syndrome de l’imposteur, qu’on pense qu’on n’est pas suffisamment bon. L’écrivain qui dit qu’il n’entend jamais cette petite voix est bien souvent un très mauvais écrivain, car seuls les mauvais écrivains pensent qu’ils sont bons. Mais si vous parlez à un écrivain et qu’il vous affirme avoir écrit un vrai chef-d’œuvre et ne pas avoir eu de problème, croyez-moi, son livre sera nul. Nous autres devons passer par là, nous vivons avec cette insécurité naturelle. La clef, c’est de comprendre que cela fait partie du processus. Toutes les choses qui vous ralentissent, et que je vis encore à titre personnel même après 33 ou 34 livres, il faut accepter que ce n’est pas la fin du monde. Souvent, je me tourne vers ma femme et je me plains que mon livre ne marchera pas. À chaque fois elle soupire et me rappelle que je dis ça à chaque livre. Ça fait partie de tout cela. L’essentiel, c’est d’éteindre cette voix qui vous paralyse (moi y compris), ou de lutter contre elle et de la surmonter ». ... "