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" ... Arne Sorenson a vécu la tragédie du 11 septembre et l’arrêt absolu que cela a entraîné pour les voyages, et il affirme qu’ « une chose que nous pensions savoir avec certitude à l’époque était que les affaires ne seraient plus jamais aussi mauvaises. Puis le ralentissement économique de 2008 a frappé, et nous avons été confrontés à des défis similaires ». Ayant vécu ces deux crises, Arne Sorenson estime que « la crise actuelle est vraiment sans précédent. Je pense que les entreprises doivent réagir avec discipline. Réduire immédiatement les coûts, bien sûr, mais rester innovantes. Réfléchissez à la façon dont vous pouvez rendre service. Faites preuve d’empathie. Soutenez vos employés, vos clients et les communautés où vous opérez. Et restez optimiste. Cette crise va passer. Mais pas avant que nous ne travaillions ensemble, en tant que communauté mondiale, pour trouver des solutions communes. En tant qu’industrie, il ne fait aucun doute que nous avons plus que jamais besoin les uns des autres : pour nous encourager, pour nous inspirer et pour parvenir à un consensus sur l’établissement de normes industrielles. Nous sommes dans le même bateau ». ... "
" ... Au-delà de cette tragédie humaine, les Etats-Unis ont basculé depuis deux semaines dans un marasme économique marqué. A l’image de l’économie chinoise au mois de février et de l’économie européenne depuis le milieu du mois de mars, les grandes régions économiques des Etats-Unis (Californie, New-York…) sont à l’arrêt à hauteur de 70% environ, mais la circulation économique entre Etats fédéraux reste possible, Trump s’étant opposé au principe de quarantaine. ... "
" ... La tragédie pour les Saoudiens réside aussi dans le fait que face à cette explosion de la production énergétique américaine, il n‘y a pas une augmentation de la demande mondiale en face. En effet, la demande de la part des pays importateurs ne saurait dépasser le million de baril/jour d’ici 2020 contraignant les Saoudiens a encore baisser leur production s’ils ne veulent pas voir les cours pétroliers s’écrouler. Ceci est sans compter sur le retour de la production iranienne qui a rajouté un peu moins d’un million de baril/jour à sa production depuis la fin des sanctions internationales frappant son secteur énergétique le 16 janvier 2016. Ce pays voudra surement augmenter sa production pour rattraper le temps perdu des années d’ostracisme dont il a fait l’objet. D’ailleurs le dernier accord des pays membres de l’organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) n’a pas exigé une baisse de la production chez les Iraniens. Demain, il en ira de même pour l’Irak qui une fois Daech mis hors d’état de nuire voudra exporter encore davantage sa production afin de pouvoir mener à bien la reconstruction des infrastructures détruites du pays. ... "
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