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" ... Le vainqueur de l’élection présidentielle, qui prendra ses fonctions dans un mois, a rencontré mercredi en Floride les dirigeants de Lockheed Martin et de Boeing. Visiblement peu convaincu par le discours des premiers, Donald Trump a donc mis à profit « sa puissance de feu » sur Twitter pour tancer le groupe de défense et de sécurité qui pourrait subir la même mésaventure que Boeing sur les marchés. Dans les échanges d’après-Bourse à Wall Street, le titre Lockheed Martin reculait de 2% tandis que l’action Boeing grignotait 0,5%. ... "
" ... Les élections présidentielle et législative pourraient donc être suivies non pas d’un alourdissement de la fiscalité des successions mais plutôt d’un allègement de la fiscalité des donations. Cet allègement pourrait prendre la forme d’une augmentation et d’un élargissement de l’abattement sur les dons de sommes d’argent (aujourd’hui de 31 865 €) et/ou d’une réduction du délai au-delà duquel il peut être réutilisé (actuellement de 15 ans). ... "
" ... Mais l’élection présidentielle n’est pas le seul « événement » à tenir les marchés en haleine. En effet, les opérateurs gardent un œil attentif sur la situation internationale et notamment du côté de la Syrie où la situation s’est quelque peu « emballée » la semaine dernière avec les frappes américaines. Donald Trump avait alors déclaré avoir agi ainsi dans « l’intérêt de la sécurité nationale » contre le président syrien Bachar al Assad. Alors que la situation semblait s’enliser dans cette région du monde, ces frappes – menées sans concertation avec la Communauté internationale – ont ravivé les tensions. La Russie a d’ailleurs immédiatement dénoncé « une agression américaine » contre le pays dirigé par Bachar al-Assad. ... "
" ... Or aujourd’hui, la présidentielle envoie tous les signaux du réveil annonciateur du redressement. Explications en trois points. Trois facteurs d’optimisme. ... "
" ... Oui, en septembre 2006. Début 2007, pendant la campagne présidentielle, j’avais une chronique tous les matins à 8h30 chez Jean-Jacques Bourdin, ça s’appelait Net Campagne, je racontais les blogs, les initiatives numériques, bref : la campagne sur internet telle qu’elle se déroulait. J’ai démissionné fin 2007 pour créer Elysée Inside, qui racontait les coulisses de l’Elysée, des ministères… Je me finançais grâce à des activités de conseil, car ça me coûtait cher : l’Etat me facturait les déplacements en avion, en train… pour suivre le président. En tout, c’était chaque année 50 000 à 100 000€ de frais de déplacements! En 2010, j’ai arrêté Elysée Inside pour retourner chez NextRadioTV, non plus comme journaliste mais pour diriger les activités numériques. Puis je suis reparti en 2012, pour créer Madeleine Market, une épicerie fine en ligne. L’aventure fut difficile, nous avons essuyé des succès et des échecs, nous n’avons pas réussi à trouver la rentabilité malgré un chiffre d’affaires d’1 million d’euros. Mais c’est grâce à cette expérience que nous avons été Jules Trecco (mon associé) et moi récupérés par Fauchon où j’ai dirigé la communication pendant 1 an. C’est en 2015, au détour d’une rencontre avec Pierre Chappaz qui m’a présenté sa vision de la publicité digitale avec Teads, que j’ai décidé de le rejoindre comme directeur général adjoint en charge des éditeurs avant qu’il me propose de prendre le direction générale de la France en janvier 2016. J’ai compris à quel point cette entreprise était disruptive. ... "
" ... Une fois la présidentielle française « digérée », les investisseurs ont un menu particulièrement copieux qui les attend. Premier de cordée : les Etats-Unis où la politique de Donald Trump peine à imposer ses « effets ». Le pays a ainsi connu au premier trimestre – le premier de l’ère Trump – sa croissance économique la plus faible en trois ans (+0,7%) là où les économistes interrogés par Reuters attendaient 1,2%. Ce qui interroge sur la capacité de Trump à « rendre sa grandeur à l’Amérique » comme clamé à hue et à dia. ... "