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" ... L’open source donne aux développeurs la garantie qu’ils peuvent non seulement utiliser le logiciel sur une base libre, mais aussi le modifier et améliorer le code en continu. Le modèle open source s’inscrit également dans leur système de valeurs puisqu’il permet de partager, de coopérer et de s’entraider. ... "
" ... L’open source, par exemple, encourage la collaboration dans le développement logiciel, mais les collaborateurs doivent déjà savoir coder. Les non-codeurs sont donc mis à l’écart. Aujourd’hui, environ 2 % de la population mondiale écrit 100 % du code. Certains projets comme GitHub mettent les codeurs en relation afin qu’ils partagent leur savoir et expérience ; ce qui est très positif, mais ces utilisateurs constituent un cercle fermé parlant un langage procédural spécifique. Il est donc impossible de participer au processus de développement sans connaître un langage de programmation. Ceci a pour conséquence de limiter les avancées en développement de logiciel. Les plateformes visuelles no-code, en revanche, ne requièrent aucune connaissance spécifique et permettent ainsi la collaboration à un plus grand groupe d’utilisateurs. Si nous voulons grandir et perdurer, nous devons trouver des solutions pour contourner les restrictions imposées par tous ces langages informatiques. ... "
" ... L’utilisation de l’open data dans le secteur de la santé prend aujourd’hui tout son sens car il permet à chaque échelon de l’Administration d’avoir accès à des milliers de données sans attendre les communications nationales. Il y a la volonté de faciliter l’accès à la donnée pour les médecins, pharmaciens et pour toute autorité de santé. ... "
" ... « La nature même du Bitcoin, en open source, le rend vulnérable à la concurrence, même si l’avantage du « premier arrivé » lui a pour l’instant donné une avance qui perdure », continue-t-il. ... "
" ... « L’open data par défaut » est, en effet, incontournable pour les start-ups qui travaillent à partir de cette matière première. Cette ouverture par défaut, constitue un vrai changement culturel pour de nombreuses administrations. J’ai également dû batailler pour convaincre que ce principe de partage de données pouvait être étendu à des acteurs économiques privés, mais qui poursuivent des missions de service public. C’est logique, quand il s’agit de réviser des notions définies au siècle dernier, comme le droit à la propriété industrielle ou de remettre en cause le secret entourant certaines correspondances administratives. Ces notions doivent être amenées à évoluer au regard de la place désormais acquise par le numérique dans l’économie. Il a fallu faire preuve de persuasion, et le travail continue puisque tout le monde n’est pas encore convaincu. Nous nous devons d’accompagner ces mutations profondes. Il ne suffit pas d’insérer des nouvelles obligations dans un texte de loi pour considérer que le basculement dans une « société de la donnée » est entériné. Nous n’en sommes qu’aux prémices mais je pense que la France a déjà hissé la barre très haut en matière d’open data par défaut. Nous avons été plus loin que ce que nous demandait le texte européen sur cette question. Il s’agit, ni plus ni moins, d’une petite révolution culturelle. ... "