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" ... Cette décision a d’ailleurs surpris moult observateurs, ces derniers s’attendant davantage à ce que le magnat transmette cet héritage à ces deux fils, James et Lachlan Murdoch. D’ailleurs aucun membre de la célèbre famille ne devrait siéger au conseil d’administration de Disney selon certaines sources relayées par Reuters. Cette opération « secoue » Hollywood et le petit monde du cinéma, l’ogre Disney ayant déjà montré par le passé son appétit en faisant l’acquisition de diverses structures, et non des moindres. Citons notamment les studios d’animation Pixar, Marvel Entertainment et, énième « coup de maître », Lucasfilm, la société productrice des « Star Wars », véritable « cash machine » s’il en est, pour Disney. ... "
" ... Le Kids Palace : les enfants bénéficient de moult animations dans une atmosphère joyeuse, sportive et instructive. ... "
" ... Pour moult observateurs, la nomination d’Olivier Lapidus obéirait à une stratégie « visant à multiplier les licences » et ainsi voir le nom Lanvin accolé à toutes sortes d’objets. Une « stratégie suicidaire » aux yeux des plus fins connaisseurs de la marque, aux antipodes de l’ADN de la griffe. En outre, cette intronisation a également créé de nombreux remous en interne. Ainsi, en désaccord avec la stratégie de l’actionnaire majoritaire (la milliardaire chinoise Shaw-Lan Wang qui détient 75% du capital) et avec le choix d’un designer sur lequel il n’a pas été consulté, l’homme d’affaires suisse Ralph Bartel, qui détient 25% du capital de Lanvin a démissionné du conseil d’administration en juillet. Et il n’a pas été le seul à quitter le navire puisque le banquier Pierre Malleways a également tiré sa révérence. Un environnement loin d’être idéal au moment où la survie même de la marque est en jeu. ... "
" ... Pour moult observateurs, le réseau social pourrait devenir à terme – si ce n’est déjà le cas – un média à part entière tant les frontières peuvent être parfois poreuses entre les deux univers. Le groupe de Mark Zuckerberg l’a résolument compris a dévoilé ce mercredi son « Journalism Project ». Objectif affiché : développer et entretenir des liens avec les professionnels de l’information et ainsi faire office de plaque tournante, ou « d’intermédiaire » entre ses utilisateurs et l’information. Une véritable « zone tampon », en somme, qui permettra notamment de sélectionner du contenu « sourcé » et de qualité afin de faire barrage aux fameuses « fake news » qui pullulent sur internet. ... "
" ... « L’avenir est entre nos mains. C’est à nous de changer demain. » Après moult projets et expériences, Ora ïto n’a plus la même conception du métier qu’à ses débuts, lorsqu’il avait envie de tout faire, et où il y avait tout à faire. « Nous vivons à l’époque qui a connu le plus d’évolution en si peu de temps. Aujourd’hui, moins j’en fais, mieux je me porte. Pas par paresse, mais par déontologie. Nous n’avons plus le temps de ne faire des choses que pour l’argent. J’ai besoin de savoir que ce que je fais a des répercussions. De plus en plus, laisser sa trace va devenir obsolète. » Le curseur a bougé et, pour le designer tricolore, s’enrichir à outrance est une perte de temps autocentrée. Réorienter ses rêves et, surtout, se demander si ce que l’on fait a du sens, voilà le nouveau schéma de vie qui remplace peu à peu celui de l’individualisme des années passées. « Le succès entrepreneurial aujourd’hui, ce n’est plus le chiffre d’affaires, mais ce que le business va générer. » Une nouvelle représentation qui, pour Ora ïto, touchera tous les secteurs, y compris le statutaire et traditionnel marché du luxe. « Le luxe, c’est l’histoire de quelqu’un qui a pris son outil, l’a modifié, de sorte qu’au fil des années, le savoir-faire se perfectionne et devienne un style à part entière. C’est pourquoi il est difficile de créer une marque de luxe aujourd’hui. Parce qu’elles regorgent d’un savoir- faire ancestral. » ... "