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" ... Avec une connectivité plus forte, la globalisation a même augmenté de façon inattendue. De nos jours, un citoyen du monde contemporain a la même vie que son homologue de l’autre côté du globe; Aller au travail, déjeuner, faire ses courses au centre commercial, consulter les médias sociaux le même jour et la même heure de la semaine. Nous pouvons aisément observer les ressemblances des grandes agglomérations mondiales comme Londres, Paris, New York, Tokyo etc, qui sont des concentrations humaines formant le moteur de l’économie globale. Ces similarités incluent les heures de pointe du trafic automobile, la fluctuation saisonnière de la consommation énergétique, les changement de prix temporaires des hôtels, ou l’affluence humaine basée sur des points d’intérêt périphériques. Cette parentalité qui se développe, tant sur le plan urbain que personnel, peut apporter de nouvelles visions sur les solutions des difficultés et inefficacités susmentionnées. ... "
" ... La globalisation avec un accès quasi universel à l’environnement digital étant relativement récente il paraît évident que des évolutions restent à venir avant d’atteindre un certain état d’équilibre. ... "
" ... La globalisation économique ne doit pas être conçue comme un processus de convergence mondiale aboutissant à un univers plat et lisse dans lequel les grandes firmes recombinent leurs blocs d’activité en achetant ici de la R&D, là des capacités de production, ailleurs des capacités de commercialisation. La globalisation est aussi et surtout la transposition des avantages comparatifs construits par les économies à un niveau supérieur qualifié de global. Le capitalisme globalisé est associé à des mécanismes de sélection et d’éviction dans un monde régi par la compétitivité, qui activent des processus simultanés d’inclusion et d’exclusion, ce qui pose le problème crucial de savoir qui sont les gagnants et les perdants. ... "
" ... P.C. :La globalisation va changer du tout au tout. Les cartes vont être redistribuées, c’est inévitable. Pendant vingt ans, on a externalisé les questions de développement durable et de réchauffement climatique en ignorant leur coût. Au moment où les multiples catastrophes nous disent que c’est l’urgence prioritaire, on doit réintégrer cela dans notre économie et notre société. La simple quête du prix bas sans regarder le coût environnemental ne peut plus exister. Les clients et les sociétés vont devoir accepter de payer plus cher. Les entreprises doivent rendre compte de leur bilan carbone dans leur rapport annuel. Au risque de sembler utopiste, il faut expliquer à nos citoyens que l’on a une opportunité historique de recréer une société où il fera bon vivre. La crise sanitaire qui s’annonce comme planétaire ne dit rien d’autre. ... "
" ... Plus on vit dans la globalisation, plus les spécificités locales (culturelles) sont fortes. Le management ou la finance ne sont pas les mêmes en Chine, qu’au Brésil, qu’aux Etats Unis… Comprendre ces spécificités régionales au sein de la globalisation est notre enjeu majeur. ... "