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" ... Donc, beaucoup de gens s’engagent avec eux et certains de ces engagements sont étonnamment longs et les gens semblent les trouver satisfaisants. Ensuite, nous entrons dans la phase de compétition jugée, qui est la finale, un événement de quatre jours avec plusieurs sessions chaque jour. Et puis il y a tout un panel de juges et tous les juges ont la possibilité d’interagir avec tous les robots sociaux. Nous ne leur disons pas avec quel robot social ils interagissent. Ils entrent simplement et ils interagissent avec un tas de robots sociaux différents. Bien sûr, avec le temps, les juges apprennent à connaître, mais d’après le comportement du robot, il doit s’agir du même robot. Ils ne savent toujours pas de quelle équipe il s’agit. ... "
" ... Les gens les plus chanceux que je connaisse ne sont pas tous des hommes d’affaires avisés ou des joueurs professionnels. Ils aiment réussir dans la vie et le travail et veulent que les autres aussi. Ils opèrent dans un esprit d’abondance. Ils ont l’impression d’avoir reçu une main gagnante par hasard, alors ils donnent toujours un coup de pouce ou font des faveurs. Ils partagent les connaissances, la richesse ou les opportunités. Ils conseillent et accompagnent les autres dans leur cheminement. ... "
" ... Peu de gens connaissent son nom, mais OSI, est une des plus grandes entreprises privées des États-Unis, est surtout un des plus anciens fournisseurs de viande de McDonald’s. ... "
" ... Tout à fait. Si les gens assumaient vraiment de dire « l’argent c’est mal », alors ils s’en foutraient. Ils diraient, de quelqu’un qui réussit « tant pis pour lui ». Mais là ce n’est pas ça, il y a de l’envie derrière. La personne vit mal la situation. Intérieurement, elle a tout autant envie de réussir et d’avoir de l’argent. Moi je le vois très clairement : quand des collègues me dézinguent parce que mes livres ont du succès, on voit très bien qu’ils souhaitent ce même succès. C’est très primaire. Il faut briser celui qui réussit. Parce que moi je ne peux pas y arriver, au moins je vais faire en sorte de casser l’autre. Mais cela rejoint la notion de « couper les têtes ». ... "
" ... “Les gens sont parfois victimes d’incendie, tout comme les immeubles. Sous la tension produite par la vie dans notre monde complexe, leurs ressources internes en viennent à se consumer comme sous l’action des flammes, ne laissant qu’un vide immense à l’intérieur, même si l’enveloppe externe semble plus ou moins intacte.” 1980, Burn Out, Herbert J. Freudenberger. Carbonisation physique ou psychique, implosion de l’être tout entier, comme si la seule alternative était de couper court à tout. Et si le burn-out était le seul moyen que le corps et l’esprit trouvent pour dire : “Pouces, je n’en peux plus, je ne cesse de vous envoyer des signaux et vous n’en n’avez cure ! ” Cet aveux d’impuissance se traduit par une injonction à nous mettre hors circuit pour éviter le pire. L’homéostasie, une fois encore, est bonne conseillère : “Quand je me sens en danger, je sais implicitement ce qui est bon pour moi et je prends conscience que l’unique moyen de stopper mon mal-être est de provoquer un court-circuit interne qui seul me délivrera de la souffrance indicible qui me dévaste.” On pourrait considérer que le burn-out est une ultime défense, un dernier rempart. ... "