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" ... Avant d’exister les choses sont pensées, rêvées, elles sont le reflet d’un désir intérieur profond et correspondent à un manque, à un besoin. ... "
" ... Enfin, il peut exister au niveau européen des conflits d’intérêt. Selon l’ONG Corporate Europe Observatory, plus de la moitié des experts de la sécurité alimentaire de l’EFSA (Agence Européenne de Sécurité Alimentaire) qui règlemente les additifs en Europe, auraient un conflit d’intérêt financier avec un industriel. ... "
" ... I) Elle a le mérite d’exister quand le financement bancaire est inexistant. ... "
" ... Les entreprises ne peuvent exister sans avoir un tant soit peu d’intérêt pour les communautés locales ou internationales qui les entourent. En choisissant d’ignorer cet environnement, certaines sociétés se retrouvent complètement détachées de leurs clients actuels et potentiels, et cela ne peut pas être bon signe pour le business. Bâtissez le monde comme vous bâtissez votre empire. ... "
" ... Qu’en retenir du côté des candidats ? “Ne pas exister sur internet est un handicap. Il faut être présent professionnellement, pour être visible”, recommande Saad Zniber. Mais en gérant cette présence intelligemment : car ce que vous écrivez, commentez, likez, sont autant de tests potentiels. Ce qui peut d’ailleurs poser un problème de consentement et de données personnelles, mais c’est un autre sujet. ... "
" ... Si aujourd’hui, il est difficile d’exister en tant que créateur, parce que les réseaux sociaux sont un véritable tube en permanence alimenté en informations, il y a vingt ans, il était plus simple pour un designer de se faire reconnaître. La marque Ora ïto se définit par sa transversalité. « N’ayant ni l’histoire, ni le savoir-faire, à savoir les éléments qui caractérisent une marque aujourd’hui, je devais m’associer avec des marques qui possèdent ces dispositions. » Le mobilier avec la maison italienne Cassina, la lumière avec Artemide, l’art de la table avec Christofle, les parfums avec Guerlain, les transports avec Alstom, le mobiliser urbain avec JC Decaux, les hôtels avec Accor… Le designer français collabore avec les meilleurs dans leur domaine, ceux qui symbolisent l’objet qu’ils créent. Ce faisant, il rentre dans l’histoire de ces marques. Certaines de ses créations se retrouvent dans la collection permanente du Centre Pompidou et du musée des Arts décoratifs. La collaboration avec Alstom perdure. Après avoir remporté l’appel d’offre sur le tramway de Nice, c’est maintenant à Marseille que le tandem récidive pour le nouveau métro de la ville. « Pour moi, la contrainte est une source d’inspiration. Il n’y a rien de pire qu’un projet avec zéro obstacle, car sans eux, on ferait toujours la même chose. » Le métro de Marseille, un grand projet dont la livraison est prévue en 2024. Le designer vit dans la projection, et trouve sa satisfaction dans les projets à long terme. Il y a dix ans, il fondait son centre d’art, le MaMo, à Marseille, sa ville natale, dans l’illustre Cité radieuse, classée aujourd’hui patrimoine mondial de l’Unesco. Achetant une ancienne partie commune qui comportait le toit, le gymnase et le solarium, Ora ïto restaure le lieu avec la copropriété pour faire briller son architecture hors du commun, avec l’aide de la fondation Le Corbusier. Le chantier dure trois ans. Construit en étroite collaboration avec les Monuments historiques, le centre d’art devient le MaMo, ou Marseille Modulor. Les plus grands artistes de l’art contemporain s’y bousculent. Il ouvre le bal avec Xavier Veilhan pour Architectones, Daniel Buren en 2014 avec Défini, fini, infini, Dan Graham en 2015 avec Observatory Playground, Felice Varini en 2016, Jean-Pierre Raynaud en 2017, Olivier Mosset en 2018, Alex Israel en 2019 et Invader en 2020. « Je suis un enfant du Sud. Je voulais vraiment apporter quelque chose à ma ville, j’ai donc ouvert ce lieu qui est gratuit. » Cet été, c’est toute la cité phocéenne qui était dans son viseur, puisque le centre d’art a déployé l’exposition Invader was here dans 80 endroits de la ville. Au-delà d’un centre d’art, c’est un lieu qui s’ouvre et se propage dans la ville. « Marseille, c’est une sorte de laboratoire pour moi. C’est une ville que j’affectionne particulièrement et qui a un grand potentiel sur lequel il m’intéresse de travailler. » Peu nombreux sont les designers qui possèdent une telle transversalité, et sont devenus une marque incarnée avec vingt ans de track record dans tous les domaines, à l’instar de Jonathan Ive, Philippe Starck ou encore Marc Newson. « Je voulais à tout prix garder cette dimension pluridisciplinaire. Dès que l’on rentre dans un métier et que l’on se spécialise, on finit par tourner en rond. » ... "