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" ... Coline Rohart, 24 ans, diplômée de l’IEP d’Aix-en-Provence, a eu une révélation à New York, en lisant une étude de l’ONU. Sujet : l’intérêt nutritionnel de consommer des insectes. « C’est un apport étonnant en protéines (68%), sels minéraux, vitamine B12 », s’enthousiasme la jeune fondatrice qui, il y a 9 mois, s’est lancée dans la préparation et le conditionnement de… grillons et de farine de grillons. Elle se fournit chez un éleveur de Toulouse. C’est étonnamment croustillant avec une saveur de noix. « Ca se consomme grillé, en apéritif, ou en farine pour des desserts – pancakes, etc. – se mariant très bien avec le chocolat ». Sa start-up MonGrillon.com décolle dans les ventes en ligne ; elle est présente sur Kickstarter, la plateforme de ‘funding’ basée à New York (Brooklyn), où MonGrillon est commercialement représentée. ... "
" ... Et passion, aussi. L’Algérienne diplômée de médecine n’a pas hésité à échanger le stéthoscope contre le tablier de cuisinière à son arrivée en France début 2000 après un mariage. ... "
" ... Lubna Kisibi, diplômée de l’IMT BS et de Dauphine, et Donia Amamra, sortie de Sciences-po, se sont rencontrées en 2015 lors d’un stage en marketing chez PwC. Elles deviennent vite amies, et partagent la même passion pour tout ce qui touche à l’ESS. L’une d’origine marocaine, l’autre algérienne, ont toujours eu du mal à retrouver dans la restauration et les traiteurs les saveurs maîtrisées par les femmes de leurs familles. Les deux jeunes femmes, qui ont pas mal voyagé à travers le monde, font le même constat concernant les parfums qu’elles ont connus au hasard de leurs périples. Meet my mama fait d’une pierre deux coups : redynamiser le secteur de l’amuse-bouche et offrir de nouvelles perspectives économiques et professionnelles à des femmes pétries de talent et précarisées. ... "
" ... Édouard et Camille se sont rencontrés en 2017 au palace parisien Le Meurice, lors de la soirée de lancement du premier numéro papier de… Forbes France ! Camille, diplômée de l’EM Lyon, est alors directrice financière et juridique de Side, jeune pousse qui cherche à ringardiser les agences d’intérim. La jeune femme, également passée par la banque d’investissement et le droit des affaires, a depuis longtemps l’envie de créer sa boîte. Édouard, lui, travaille depuis huit ans chez Edmond de Rothschild. C’est là qu’il a rencontré Anthony Watine, lui aussi conseiller patrimonial dans la célèbre banque privée. Ils ont ensemble lancé son antenne lilloise. Les deux Nordistes ont pour projet de « passer de l’autre côté de la frontière d’intérêt, du côté des investisseurs ». Entre les trois, l’alchimie fonctionne aussitôt. Les premiers clients arrivent grâce au carnet d’adresses fourni des deux hommes. Camille Berthelot s’occupe, elle, de structurer la société. Les family offices sont des modèles de gestion des grandes fortunes typiques des pays anglo-saxons. Comme leur nom l’indique, ces gestionnaires de patrimoine ne sont pas que conseillers en investissement : ils participent à une réflexion et aux échanges avec tous les membres de la famille. Car la gestion du capital humain autant que financier est prépondérante. « De tels patrimoines sont sources de contrainte et de confusion dans l’esprit des familles. Cela peut générer des conflits, des incompréhensions et de l’anxiété, notamment par rapport aux enfants », explique Édouard Herbo. Pour lui et Anthony, l’opportunité est réelle en France. D’abord, parce que la demande est potentiellement forte : « Il y a plusieurs milliers de grandes fortunes ici. Mais quelques centaines seulement font appel à des family offices », observe Anthony Watine. Ensuite, parce que l’offre dans la gestion de fortune est encore limitée, tant quantitativement que qualitativement : « Nous remarquions que l’industrie de la banque privée était tirée vers le bas depuis quelques années. Il y avait beaucoup de frais imprévisibles et de l’opacité dans la gestion. Et même si la banque privée propose un service, in fine, elle vous vend des produits financiers. » Preuve en est de ce déséquilibre entre offre et demande, c’est à Lille, dans le fief des deux hommes, que Keepers a installé ses premiers bureaux, avec succès. « C’est un espace plein d’opportunités. Vous avez à la fois beaucoup d’entrepreneurs, et aussi de grandes familles industrielles », note Édouard Herbo. ... "