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" ... D’autre part, nous considérons généralement une bonne négociation comme l’idée de « perdre ou concéder le moins de choses possibles à l’autre partie ». Et bien la négociation éthique et responsable permet un changement de paradigme pour se donner l’ambition d’avoir un impact positif par la création de richesses supplémentaires et d’un partage de la valeur plus juste et plus durable : Il s’agit de passer du manque à la ressource ! ... "
" ... L’intelligence artificielle (ou IA) est tellement présente dans notre quotidien que nous la considérons comme une évidence. Elle peut en effet comporter une dimension magique lorsqu’elle permet de synthétiser des quantités impressionnantes de symptômes afin de trouver le bon traitement à un trouble médical. ... "
" ... Nous considérons nos actionnaires comme faisant parti d’un club qui ne se limite pas simplement à l’avion lui même. Ce concept nous permet d’organiser des événements et activités que l’argent ne peut pas acheter. Cela peut être le Monaco Yacht Club Show, Art Basel ou le Grand Prix de Monaco, lors duquel l’année dernière nous avions privatisé toute une terrasse et même rencontré Nico Rosberg. Nous avons aussi organisé des concerts privés avec Andrea Bocelli et U2, des stages de tennis gratuits avec Djokovic ainsi que des dîners accompagnés de Chefs Michelin étoilés. Cette année est prévu un dîner privé à Noma, un stage de golf gratuit avec Danny Willet et bien d’autres choses encore. Nous sommes toujours entrain d’élaborer de nouvelles manières de rendre l’actionnariat plus amusant. ... "
" ... Nous considérons, Anders et moi (Anders Bringdal, ancien champion du monde de planche à voile et cofondateur de SeaBubbles) que nos demandes formulées auprès des différents pays sont raisonnables. Nous sommes, comme vous le soulignez, sur une demande oscillant entre 30 et 50 km/h au cœur des villes. Ce que nous demandons à Paris est de pouvoir obtenir le droit de faire « voler nos bateaux » à une vitesse similaire à celle en autorisée sur les voies sur berge. Actuellement, cette réglementation est insuffisante et nous empêche d’être utile au plus grand nombre. Par ailleurs, cela nous contraint à voler de manière très lente, loin de la vitesse naturelle nécessaire à un Bubble pour atteindre sa pleine mesure. Nous avons un bilan énergétique bien meilleur en allant plus vite. Un avion, par exemple, consomme énormément d’énergie au décollage et à l’atterrissage, mais jouit d’un excellent rendement lorsqu’il est en plein ciel à sa vitesse de croisière. Aujourd’hui, à force d’empiler les voitures sur les quais, on se retrouve dans une situation aberrante où les cours d’eau sont complètement sous-utilisés et les berges sont quasiment saturées partout. C’est également le cas à Genève ou encore Londres. Nous sommes les premiers à savoir faire voler un bateau relativement lentement, de manière stable, sans vagues, sans bruit et sans pollution. Voler à 30 nœuds (50 km/h) est quelque chose qui n’est pas extrême. Nous ne mettons pas les passagers en danger et nous sommes ainsi utile pour le plus grand nombre et pour la collectivité. L’air que respire nos enfants n’est ni de droite, ni de gauche, ni français, ni suisse. Nous sommes des oiseaux du large et voulons de la respiration pour tous au-delà des visions partisanes. ... "
" ... Si nous considérons que l’ubérisation, c’est capitaliser sur la technologie alors oui, c’est une forme d’ubérisation. ... "
" ... « Nous considérons que la période de taux d’intérêt très bas va durer encore longtemps et que les banques vont continuer à payer des taux négatifs sur les dépôts de leurs clients placés à la banque centrale », justifiait UBS auprès du journal économique Les Échos. ... "