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" ... Cette forme de care, qui est aussi une marque d’engagement de la part des équipes, est ainsi fortement ressortie lors d’un webinaire organisé par l’Union Sociale pour l’Habitat le 9 juin 2020. ... "
" ... En effet, alors que la notion de « care » est plus que jamais au centre des préoccupations, il apparaît que le travail de care, celui du quotidien, non seulement demeure en 2020 une source d’inégalité homme-femme, mais encore qu’il est à l’origine de « reproches » adressés aux femmes. La publication de la DARES a ceci de particulier qu’elle insiste sur cette forme de dégradation très concrète des relations familiales que sont les reproches. Or, il y a fort à parier que la pandémie, loin de venir en atténuer les sources, en accentue plutôt les motifs. Petite démonstration en quatre temps. ... "
" ... Le modèle « I care » : ... "
" ... L’autre paradoxe, c’est que ces métiers, au-delà du care, sont ceux qui relèvent de l’univers de la relation (et de la relation client notamment) et qu’à ce titre ils sont les premiers concernés par ce que l’on appelle « l’expérience client » : alors que l’exigence ne cesse de grandir vis-à-vis d’eux, leur niveau de reconnaissance est loin d’être toujours en adéquation avec cet enjeu. ... "
" ... Mais en quoi le care, ainsi défini, peut-il concerner le monde de l’entreprise ? En premier lieu, il convient de préciser ce que cette forme d’éthique nous dit de nos besoins en tant que personne, et donc aussi en tant que collaborateur et manager. Je suis convaincu que le care peut aider à faire évoluer les pratiques managériales dans le contexte du développement des démarches de marque employeur et d’expérience collaborateur, enrichissant ainsi notre approche du bien-être et de la santé au travail. ... "
" ... Si je me réfère à l’éthique du care, cela veut dire que deux besoins parmi les quatre qui priment sont insuffisamment satisfaits – le « pouvoir d’agir » (la responsabilisation, la capacité à prendre des initiatives) et la reconnaissance. Dans la plupart des entreprises que je côtoie, sinon toutes, ces éléments reviennent comme un refrain et ils se masquent souvent derrière les problématiques d’engagement et d’absentéisme. ... "