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" ... C’est notre business plan disruptif qui rend tout cela possible. Nous avons commencé par commercialiser nos solutions en ligne, au départ uniquement aux PME, mais en adressant immédiatement le monde entier. La partie novatrice de notre modèle est l’accent mis sur le concept du libre-service : la solution parle d’elle-même et guide efficacement l’utilisateur. Nous concentrons nos efforts sur la conception et l’optimisation des solutions, afin de faciliter l’onboarding du client, du début à la fin. La simplicité d’utilisation garantit l’adoption de nos solutions. ... "
" ... Depuis le business modèle de la start-up s’est adapté. En langage de start-up, cela s’appelle pivoter. Mais en période de crise, il faudrait plutôt parler de survivre. Car au départ, le projet des trois jeunes créateurs était de rendre possible la livraison de repas gastronomiques et bistronomiques aux entreprises sans que rien ne soit altéré ni endommagé lors du transport. ... "
" ... Les business angels investissent leur agent propre, et le montant typique se situe entre 150 000 dollars et 2 000 000 de dollars. Etant donné que ces business angels occupent très souvent des postes importants et souvent décisionnels dans de grandes entreprises, ils peuvent s’avérer de très bons conseillers, et vous aider à pitcher et vous présenter aux investisseurs, en plus de vous apporter des fonds. ... "
" ... Les business men d’aujourd’hui ne peuvent probablement pas concevoir de lancer une entreprise sans l’aide de la technologie, alors que beaucoup de ceux qui ont commencé à l’ère pré-numérique se souviennent qu’il y avait moins de concurrence et donc plus de chances que leur business devienne un succès. ... "
" ... Tel est le « business model » philanthropique d’Alexandre Mars. Redistribuer un peu, beaucoup de ce que l’on a gagné ou reçu à la fleur de l’âge, est une pratique tendancielle très nouvelle au pays des Lumières. Auparavant, l’orthodoxie dominante se résumait surtout par l’immuable tableau de sexagénaires en costume grisâtre – industriels ou héritiers – qui se retrouvaient autour de galas de charité pour remettre un chèque à une œuvre caritative. Souvent à l’approche de Noël. Une pratique qui a bien sûr toujours cours dans l’Hexagone, mais qui contraste à présent avec le panache de ces « philanthropreneurs » éphèbes prêts à mettre une énergie proportionnelle à leur force de travail dans une cause. ... "