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" ... Ce dont j’avais besoin, c’était simplement de m’impliquer avec et dans mon équipe. D’expliquer à chacun de ses membres mes attentes, expliquer les situations et mettre en place des objectifs. Les ambiguïtés créées par ma volonté d’éviter les conflits ont simplement mené à plus de confusion et de frustration. ... "
" ... Il se trouve que j’avais croisé Ludovic Le Moan en 2017, au siège de son actionnaire Suez, en pleine forme à la suite de ses alors récentes levées de fonds. Je lui avais alors posé une seule question : que comptait-il faire face à l’arrivée d’un standard mondial de l’IOT ? Sa réponse était restée évasive, évoquant une spécialisation sur l’entrée de gamme, qu’il a très vite appelé le 0G, avec son indéniable sens du marketing. ... "
" ... J’avais donc pris pour exemple la question « Si vous pouviez dîner avec une célébrité, un personnage historique, qui choisiriez-vous ? ». ... "
" ... J’avais très envie d’aller en cabinet pour être plus proche des centres de décision et j’y ai acquis une grande expérience d’autonomie et de responsabilité. Avec Christian Estrosi, comme j’avais un parcours financier, je me suis principalement occupée de restructuration d’entreprise et de dossiers de sauvetage d’entreprise. Il me laissait une grande marge de manoeuvre ce qui me permettait de prendre de nombreuses décisions avec une relative autonomie, même si j’avais naturellement l’appui du directeur de cabinet, qui était un Préfet chevronné. Ce que j’ai aimé en cabinet, c’est l’autonomie. ... "
" ... Pour Tati, j’avais un double objectif. Sauver les 1 500 collaborateurs, mais aussi l’enseigne. Je n’y suis pas parvenu. Évidemment, il y a eu des magasins fermés et une centaine de licenciements mais nous avons créé beaucoup d’emploi en rouvrant tous ces magasins sous l’enseigne GiFi. J’ai toujours en tête de protéger les intérêts de l’entreprise, mais je sais aussi me mettre à la place des collaborateurs. Il est facile d’embaucher, mais plus compliqué de détecter des talents. Une fois trouvés, il faut savoir les accompagner dans l’entreprise. La force d’un dirigeant, c’est d’écouter et de comprendre ses collaborateurs. Cet esprit et cette culture d’entreprise ont toujours été présents depuis la création du premier magasin en 1981. Ce qui a fait la force de mon entreprise, c’est que je suis tombé amoureux de mes collaborateurs. Aujourd’hui, le groupe GPG en compte presque 10 000. C’est un grand objectif atteint, avec comme base un leadership essentiellement humain. ... "
" ... « Bien que ce travail ait été très important, j’avais plutôt le cœur à la conversion de dioxyde de carbone. Je travaillais là-dessus en parallèle, et lorsque nous nous sommes rencontrés, je voulais m’investir plus dans la lutte contre le réchauffement climatique et pas seulement bricoler dans un laboratoire », explique-t-il. ... "